La puce parieuse provoque la fièvre du jeu chez celui qu'elle mord. Elle mord un chat, qui est désireux de jouer au gin-rummy avec un bulldog pour les pénalités. Même s'il continue à perdre et doit endurer de plus en plus de pénalités douloureuses, le chat est obligé par la morsure de la puce de continuer à jouer.